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Physionutrition
Bien manger est devenu un vrai casse-tête.
Cet espace a pour but de vous expliquer
les bienfaits de la physionutrition
à chaque période de votre existence.
Les 4 piliers fondamentaux de la physionutrition
La physionutrition est un terme qui regroupe les 4 piliers principaux de la médecine micronutritionnelle :
- La nutrition
- La micronutrition
- L’endocrinologie (l’étude des hormones)
- Les émotions
Ces 4 grands piliers nous permettent de comprendre et de gérer les 11 équilibres majeurs du corps humain :
- L’alimentation
- Le microbiote
- La perméabilité intestinale
- L’équilibre détox
- L’équilibre acido-basique
- L’équilibre oxydo-réducteur
- Les acides gras essentiels
- La balance en neuromédiateurs
- L’équilibre mitochondriale
- Les régulations hormonales
- L’équilibre comportemental et psychique
Là où la médecine allopathique pèche par sa prise en charge en pathologie d’organe (on traite le foi, le cœur les poumons ou le rein…), la physionutrition prend la personne dans sa globalité. Mais attention, ce n’est pas une médecine miracle, ses bienfaits sont documentés par des recherches scientifiques et surtout par des mécanismes physiologiques bien connus même si très innovants. La physionutrition est là pour vous maintenir en bonne santé là où la médecine allopathique vous traite quand vous êtes déjà malade. C’est pourquoi la physionutrition est en accord parfait avec la médecine anti-âge et esthétique dans le cadre d’une prévention du vieillissement.
Un alimentation globale plus saine mais l’obésité augmente : le paradoxe !
Au-delà d’un problème de quantité, ce sont la mauvaise qualité des produits consommés et la composition inadaptée de nos repas comparé à nos besoins qui sont les plus responsables du développement de pathologies dues à l’alimentation.
Obésité, diabète de type 2, dyslipidémie, hypertension artérielle, maladies cardio-vasculaires (infarctus, avc ischémique), insuffisance respiratoire, troubles du sommeil, atteintes ostéo-articulaires, dysfonctionnements hormonaux, infertilité, perte de mémoire, maladies neurologiques (maladie d’Alzheimer, maladie de Parkinson), cancers, la liste des troubles et maladies liés à une mauvaise alimentation n’est malheureusement pas complète.
Deux facteurs principaux sont responsables de la baisse de la quantité de micronutriments absorbés aujourd’hui :
- la réduction de l’apport calorique, qui s’est faite aux dépens des aliments riches en micronutriments,
- la diminution de la densité en micronutriments des aliments.
Premièrement, il n’est pas difficile de comprendre que si nous mangeons deux fois moins qu’il y a 50 ans les apports en micronutriments ont diminué d’autant. La ration calorique il y a un demi siècle était de 3 500 KCal là où aujourd’hui elle est de 1800 KCal. La cause : principalement une adaptation au fait que les métiers de maintenant sont moins physiques qu’auparavant.
Deuxièmement, la qualité intrinsèque des aliments à diminué en micronutriments pour les raisons suivantes :
- Excès d’arrosage des cultures qui « lessive » les sols et diminue leur richesse en minéraux
- Excès d’engrais, de l’agriculture intensive qui, en augmentant la vitesse de croissance des plantes, diminue le temps de fixation des micronutriments,
- Excès d’utilisation des pesticides et des herbicides qui diminue la richesse des végétaux en vitamines en empêchant la transformation des minéraux par les micro-organismes, transformation nécessaire à une meilleure absorption
- Raffinage qui enlève aux végétaux une majeure partie de leurs minéraux
- Cueillette des fruits et légumes avant la maturation complète ainsi que le temps passé entre la cueillette et la consommation (par exemple quatre semaines en moyenne pour les tomates)
- Traitements de conservation (conserve, surgélation puis réchauffage détruisant les stocks vitaminiques).
L’alimentation faible en glucide ou le régime cétogène
Les études menées dans les années 1970 sur les facteurs de risque des maladies cardiovasculaires ont eu pour effet de faire diminuer de façon drastique la consommation des lipides dans l’alimentation. Le problème majeur à la suite du retrait des graisses de l’alimentation : le goût ! De ce fait, progressivement, les lipides ont été remplacés par du sucre. Et aujourd’hui vous vous retrouvez avec du sucre caché dans quasi la totalité des produits alimentaires industriels. N’oublions pas que le sucre est aussi et surtout présent dans tous les produits céréaliers et dans le pain, les pâtes, le riz, les pommes de terre…
En pratique, l’alimentation faible en sucre peut être stricte, modérée ou plus souple. Les besoins en glucides sont environ de 50g par jour, en dessous de cela le corps puise dans ses réserves. Phénomène naturel qu’on appelle la cétose. Le corps va chercher les graisses et les transformer en corps cétonique pour remplacer le glucose. Ces corps cétoniques ont une biodisponibilité supérieure aux glucides. La formule 2019 du Tour de France a vu arriver cette année des boissons avec des cétones artificiels car plus efficaces.
Le régime s’appelle en réalité LCHF pour « low carbs high fat » (pauvre en sucre et riche en graisse insaturée). Il est vrai que cette affirmation va à l’encontre de tout ce qu’on a pu vous dire depuis 50 ans ! Le professeur Noakes à en 2014 été accusé de mensonge scientifique par la haute autorité de surveillance médicale d’Afrique du sud et à complètement été blanchi en 2017 car ses théories sont vraies. Mais comprenez que les intérêts industriels autour du sucre sont gigantesques…
Nos professionnels médicaux sont complètement sensibilisés à la physionutrition et sauront vous orienter dans les démarches à entreprendre pour réguler l’ensemble des 11 équilibres grâce à des questionnaires scientifiquement établis. Une consultation complète de micronutrition est primordiale avant tout début de cure.
Les avantages du régime cétogène
Pas besoin de compter les calories ou de peser les aliments : vous mangez à votre faim. Une seule règle à respecter : manger peu de glucides !
Mangez de la viande, du poisson, des œufs, des légumes et des graisses naturelles comme le beurre, l’huile d’olive… Supprimez le sucre et les féculents : pas de pain, pâtes, riz, pomme de terre, confiture, miel…
Les corps cétoniques produits par vos cellules aident à contrôler la faim. De plus, ils sont parfaitement adaptés aux besoins du cerveau, ils stimulent vos capacités mentales et physiques. Au bout de quelques jours, vous n’avez pas faim et vous êtes en grande forme !
La cétose transforme votre corps en machine à brûler le gras.
Vous pouvez perdre du poids sans vous priver et vous prenez soin de votre capital santé.
Pour finir vous mangez des produits naturels et des produits frais. Jamais de produits industriels.
Complétez cela par une activité physique régulière sans excès et vous maintenez votre capital bonne santé.
Nos professionnels médicaux sont complètement sensibilisés à la physionutrition et sauront vous orienter dans les démarches à entreprendre pour réguler l’ensemble des 11 équilibres grâce à des questionnaires scientifiquement établis. Une consultation complète de micronutrition est primordiale avant tout début de cure.
La qualité de l’alimentation en plein déclin
Tous les jours l’alimentation doit apporter à chaque personne une quantité suffisante de protéines, de lipides, de glucides et de micronutriments (vitamines, minéraux et oligo-éléments) pour couvrir l’ensemble de ses besoins naturels.
Pour chaque nutriment on a défini, en France, l’apport permettant de couvrir les besoins physiologiques de la quasi-totalité de la population. On les appelle les Apports Nutritionnels Conseillés pour la population (ANC).
En 1986, l’étude « Évaluation de l’Apport Alimentaire Vitaminique en Bourgogne », en 1991 l’enquête Val-de-Marne et, plus récemment en 2003, l’étude SU.VI.MAX ont démontré qu’une grande partie de la population française ne recevait pas les ANC en vitamines, minéraux et oligoéléments.
Une étude publiée dans les Cahiers de nutrition et de diététique en 1999 par Darmon et Briend démontre qu’il est difficile, voire impossible, de demander aux Français de respecter les apports nutritionnels conseillés sans s’éloigner considérablement de leurs habitudes alimentaires.
L’alimentation dans les pays industrialisés présente plusieurs paradoxes apparents, elle semble :
- plus saine (les accidents liés à des intoxications alimentaires sont plus rares, les méthodes de conservation sont améliorées)
- moins carencée
- moins riche (la ration calorique moyenne a diminué de façon importante en un siècle).
Pourtant l’obésité (en France en 2017 15,8% des Hommes et 15,6% des Femmes ont un IMC supérieur à 30. Exemple : 87 kg pour une personne de 1m70) et le surpoids (56,8 % d’hommes et 40 % de femme) ne cessent d’augmenter et une grande partie de la population présente des déficits en micronutriments.
